La solution consisterait en ce qu’il s’obligeait par loi:
- À prolonger la durée des crédits et des prêts à un long terme de, par exemple 50 ans.
- Que l’intérêt maximal annuel était de 2% par an, pendant ces 50 ans.
- Qu’en cas d’une vente de l’immeuble il fût possible ou bien amortir le prêt / crédit, total ou partiellement, ou même être subrogé en faveur de l’acheteur dans les mêmes conditions que celles que teignait le vendeur.
- Qu’en cas de décès des titulaires de l’immeuble ou du prêt, ses héritiers pourraient accepter l’héritage par exemple à un bénéfice d’inventaire (droit espagnol), ce que leur faciliterait continuer de payer et même vendre et amortir le total pendant, sans affecter leur patrimoine personnel.
Exemples:
Un crédit pendant d’amortir selon le simulateur qui apparaît dans le web: https://calculadora-hipoteca.com/, Serait de:
Pour 100.000€ par 50 ans à 2% d’intérêt annuel, la quote-part mensuelle serait de 263,79€.
Pour 250.000€ la quote-part serait de:
Des effets immédiats:
- Les débiteurs pourraient payer les quotes-parts.
- La valeur des actifs immobiliers monterait immédiatement en donnant une solvabilité à ses propriétaires et sa solvabilité s’améliorerait.
- Les valeurs des actifs des banques (des prêts accordés) resteraient à ses valeurs initiales, à cause de cela, ses bilans ne s’affecteraient pas et leur solvabilité serait meilleure.
- Les particuliers et les entreprises qui avaient des actifs immobiliers, arrangeraient leur valeur à celui-là de marché, qui serait bien meilleur.
- Les ventes augmenteraient remarquablement.
- Il s’attirerait un capital étranger dans des quantités très importantes vers le secteur immobilier.
- Les entreprises obtiendraient financement.
- Les entreprises emploieraient du personnel.
- On créerait des entreprises
Des effets secondaires prévisibles:
- Les banques devraient négocier la dévolution des prêts obtenus de troisième banques avec l’aide des banques centrales de chaque pays ou même la banque de l’union européenne (de fait, elle le fait déjà).
- Cependant, la réactivation de l’économie améliorera aussi la solvabilité des banques et leur capacité de répondre devant les obligations contractées.
Des effets si la mesure proposée ou aucune autre avec des effets similaires, n’est pas prise:
- Les débiteurs ne peuvent pas payer et ils restent endettés à perpétuité.
- L’argent ne coule pas.
- L’économie s’arrête.
- Les banques s’adjugeront des immeubles à la moitié de leur valeur, ils doivent les maintenir et les.
- Les actifs des banques se détériorent.
- Les banques centrales et la banque européenne injectent des fonds aux banques, ou autrement elles feront faillite en augmentant l’effet préjudiciable.
- Ces fonds n’arrivent pas au citoyen qui c’est finalement qui devra financer avec ses impôts les dites entités centrales.
- L’économie entre dans une récession.
- Ils disparaissent des entreprises, etc…
Donc, si quelque personne avec capacité d’influence et de décision, croit que la solution que je propose est correcte et viable, s’il vous plaît, qu’elle fasse tout l’effort possible pour qu’elle s’applique immédiatement.
Alejandro Espada Gerlach